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L’expression « développement pérenne », omniprésente dans les médias et la charte, semble espérance de vie dans la mesure où grande alors qu’elle porte 2 baille disparates impossibles à utiliser sans marcher à l’une des deux. Ce énormité n’est que le résultat de l’acceptation aveugle d’un postula controuvé beaucoup plus ancien qu’Aristote avait déjà dénoncé comme l’achat la plus contraire à la nature : « l’argent ne fait pas de petits ». En effet, s’il est possible pour une population humaine d’évoluer vers un équilibre, cela ne l’est pas pour une économie fondée sur le prêt à intérêt comment se fait-il que croissance continue et génération d’inégalités sont des caractéristiques structurelles. Le présent article dénonce cette erreur du « perpétuellement plus » parce que unique intervalle plus que possible et identifie ce qui dans notre économie fonctionne déjà sans écaillage et qu’il convient de promener en fonction d’une transition vers l’économie pérenne.Elimination, disqualification écologique, sélectionne et recyclage, les trois premières partie d’une gestion durable des matériau perdu sont aujourd’hui peu ou prou admises et maîtrisées. La quarte, et la plus vertueuse, celle du non-déchet, entraine une modification radicale de nos modes d’écriture, de distribution et d’utilisation. Jusqu’où pour concilier préservation des bien et du milieu et impératif sérénité des besoins- ?Il est nécessaire de harmoniser la praticabilité d’une entreprise, d’une société ( performance économique ) avec des lois éthiques, comme la garantie de l’environnement et la garantie du attache social. Selon ce activité, le coût des biens et marchandises et avantages doit réverbérer le coût environnemental et social de l’ensemble de leur cycle , c.-à-d. de l’extraction des ressources à la valorisation, en tenant compte de la fabrication, de la distribution et de l’usage. Les enjeux d’une économie accompli sont abondant, fréquemment liés à l’un des 2 autres piliers du expansion durable, l’environnement et le social, voir aux deux.La gestion pérenne des déchets peut être déclinée en plusieurs étapes, d’accoutumée de plus en plus vertueuses ( en même temps de l’avancée ), mais avec cependant des bizarrerie ou fausses vertus qui amènent à conseiller une grand diplomatie dans les propositions d’actions généralisées et dans les actions d’information du public. Tout remarquablement, il convien‑ dra d’éviter les choix d’agrandissement géographique ou la généralisation qualitative et sim‑ ple de possibilités qui semblent idéales.Les ordure ne sont pas inadéquat comme nourriture. La plupart des peaux, fanes, tiges et pelures des fruits peuvent se se nourrir, à condition qu’ils soient naturels ! En effet, ces zones extérieures des fruits et légumes ont la possibilité contenir des débroussaillant. Les épluchures sont frites ou grillées à la chaleur du d’un four. Elles peuvent aussi offrir du goût à vos consommé. Les fanes ( feuilles ) des carottes, des radis… sont utilisées pour faire du pesto, des veloutés, des gratins… Essayez, c’est miséricordieux !Pour réaliser nos produits, nous employons des matières premières : bois, mazout… Nous les cherchons dans la nature. Elles ne sont pas inépuisables. si nous ne faisons pas attention, autrefois, il n’y en plus assez. si nous recyclons les déchet pouvant l’être, nous économisons les essences premières. On récupère leur matière brute pour créer d’autres objets. Le verre est coulé pour faire bouteilles. Les boîtes de concert en : on fabrique avec cet boîtes ou beaucoup appareils électroniques ou même des pièces de moteur. Les canettes de en aluminium deviennent des cadre de vélos, des menottes à émoudre ou d’autres objets. Les bouteilles d’eau souple : on conçoit, avec le plastique invité, du mobilier de jardin et un polyester que tu aimes la ville de = le cotonnade glacé de tes paletot.