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Le chantre Stromae confiait enfin être « inquiet » pour son capital santé mentale, et qu’il souhaitait faire une pause dans sa carrière. Trop de succès ? Trop de fatigue ? Trop de médiatisation ? Stromae n’est pas l’unique star à réveiller le sujet de la santé mentale en lien avec l’exposition médiatique : de Marilyn Monroe à Britney Spears, les exemples sont abondant. Alors la popularité pourrait-elle vraiment faire « vesser les plombs » ? voici quelques éléments de réponse.
Notre comportement est souvent influencé par des protagonistes de cinéma, sportsman de haut niveau, musiciens ou hommes politiques… Ce n’a rien de nouveau et est continu à travers les gens, continents ou différentes situations de l’histoire. Pourquoi ? Il il n’y en a pas encore de réponse logement se trouvant de nos jours même si ce “culte de la célébrité” déclenche des comportements vraisemblablement irrationnels. Par exemple, il est difficile de comprendre pourquoi quelqu’un est prêt à dépenser des sommes astronomiques pour choisir des marchandises aussi communs qu’une ainluthérien, un musette ou même un mollusque, si ces produits ont appartenu à quelqu’un célèbre. Presque $1, 000, 000 pour les comité de golf de John f. Kennedy ou $400, 000 pour son rang à romaine ? Un morceau de chewing-gum de la chanteuse Britney Spears vendu sur Ebay pour $14, 000 !
Entendue en ce sens, la popularité est un élément récent de l’histoire, directement en lien avec l’explosion des médias et des moyens de diffusion de l’image : sport, illustration, télécommunication, magazine, brochures, Internet… Sans ces moyens-là, la célébrité se confondrait encore avec la « renommée » démoniaque d’une Sarah Bernhardt, ou la « notoriété » d’un meurtrier comme Landru. Les célébrités sont aujourd’hui partout ou presque : musique, sport, show bien sûr, et également sport, prédispositions, art, charte, et littérature… La hollywoodienne, l’idole rock, la top style, le goals planétoïde, le téléanimateur amusante, outre certains avantages qui sont ceux de l’aboutissement réussi sociale le plus souvent, partagent en premier lieu un même risque : celui d’être abordé dans la rue par un nombre inconfortable de génials pas connu. Vous ne les pas, mais eux vous connaissent, ou croient vous connaître, car – comme ma fille de boutique – ils peuvent avoir oublié l’appellation qui va avec le visage.
N’oublions pas que la célébrité, à l’inverse à la gloire, est née de la rencontre de la démocratie et de la d’usage. La popularité n’est alors plus un privilège des rois, des aventuriers ou des chefs de guerre, présentement chacun peut son quart date de notoriété comme le prophétisait Andy Warhol les années 70. Les éventuels médias comme web et les jeux vidéo télévisés dits de ‘ télé-réalité ‘ ont rendu ce postulat fortement très grande. Le philosophe Roger Caillois écrivait déjà en 58 combien le occase est présent lors de la aurore des personnes célèbres et quel prix cette ‘ conjoncture enchantée ‘ était efficace au concept même de la célébrité[1]. En effet chacun en regardant sa star favorite peut rêver et se qualifier : ‘ Un jour ce sera moi sur cet écran. ‘ Dans une entreprise qui marche au demande, voilà un merveille qui peut toucher semble-t-il le premier parvenu ; une réussite grandiose qui peut être dévolu au plus enfoncer ou au plus pauvre. En cela, la popularité bafoue la titre se trouvant, infirme la futur que sa condition fait peser sur tout le monde. La démocratie et la notion de réalisation de soi sont appartement de l’histoire.
L’arnaque. Le catastrophe des stars. De Johnny Hallyday à la fille du King, Liza Marie Presley, en passant par Benjamin Castaldi et Isabelle Adjani, nombreuses sont les individus qui ont eu affaire à des escrocs du type paul Madoff ou Christophe Rocancourt. On pense aussi à l’ancien double athlète du monde de lutte Christophe Tiozzo ou à la skieuse française la plus titrée de la légende en Coupe de l’univers, Carole Merle, qui ont laissé leur fortune entre les mains d’arnaqueurs. Par le biais de placements imprudent de la part de «gens de confiance», l’un comme l’autre se sont retrouvés, du jour à plus tard, avec plusieurs millions d’euros de crédits ( voir ci-contre ).
Il estime que certains scénarios «pré-établis», comme les détraquement d’ascension sociale parfaite, provoquent une réaction sensible parce qu’ils sont engagés dans nos cerveaux. Si l’on regarde les histoire de célébrités, celles qui défraient le plus l’histoire correspondent souvent à l’une ou l’autre de ces entreprises de base. Prenez la décadence de Charlie Sheen, par exemple : c’est le conte typique du «mauvais garçon» –qui change fréquemment à la recherche de rédemption, sur le modèles du «Fils prodigue».
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