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Alors qu’une femme compte jusqu’à 14 cycles menstruels par an et généralement 520 dans une vie, les déchets liés aux protections hygiéniques jetables s’accumulent. Cela représente en moyenne 10 000 protections par femme en une vie et 45 000 000 000 dans le monde par an … de quoi faire froid dans le dos… ( autant pour son wallet digital que pour notre planète ) ! excepté l’impact sur notre environnement par le simple fait que ce soit un produit jetable, les protections à application unique n’ont à vrai dire rien pour séduire. Tampons ou serviettes hygiéniques jetables, chacun est constitué de dizaines de toxines mauvais pour la planète et pour la santé. Polyacrylate, aluminium, alcool, additifs de parfum, hydrocarbures, pesticides et j’en passe.
Un tissu doux d’absorption : c’est celui qui est au contact de notre intimité. un grand nombre de des marques utilisent du coton. Un tissu de rétention : il attire le liquide au cœur de la culotte, pour nous garder au sec. les marques françaises utilisent généralement du bambou ou de l’eucalyptus, aux caractéristiques anti-bactériennes et anti-odeurs. À souligner que certaines marques étrangères mettent de la laine mérinos, de la polaire en coton ou des nanoparticules d’argent ( controversées… ) Un tissu imperméabilisant mais connu pour sa propriété respirante : c’est grâce à lui qu’il n’y a pas d’incident. Il s’agit le plus souvent de polyester enduit polyuréthane, plus connu sous le vrai nom de PUL. ( Oui, c’est du synthétique… )
Personne ne saura que vous placez une culotte menstruelle, car elle est suffisamment fine et timide pour passer inaperçue sous votre pantalon ou votre jupe courte. La culotte des règles assure le même confort qu’un frapper ou un shorty indémodable. toutefois, son entrejambe est beaucoup plus épais, notamment grâce à son tissu drainant, microfibre et imperméable, qui va limiter les fuites et assurer une parfaite absorption. La culotte hygiénique lavable et réutilisable est respectueux de l’hygiène féminine. En contact avec notre flore vaginale et notre muqueuse, elle ne engendre ni démangeaison, ni irritation. Les tissus qui vont composer la culotte menstruelle sont garantis sans perturbateurs endocriniens ni produits toxiques. D’ailleurs, les matières sont franchement indiquées sur l’étiquette. Afin d’assurer le respect de l’hygiène féminine, il n’y a ni parfum, ni contractuel blanchissant, ni produit toxique. Elle vous protègera même du syndrome du choc toxique.
Le marché mondial des culottes menstruelles semble assez prometteur avec une hausse des demandes partout dans le monde. A l’heure courante, elles existent en plusieurs modèles de différentes tailles pour le confort et l’esthétique des femmes. La culotte classique flux moyen est vendue généralement à 32 euros contre 39 euros pour les flux les plus abondants. Cela reste un investissement de départ qui sera amorti au fil des années, car une femme dépense environ 60 euros sur une année pour les protections hygiéniques alors qu’une culotte menstruelle dure environ trois ans et peut même aller jusqu’à cinq ans. La création des culottes menstruelles est également plus respectueuse de la nature et moins polluante. Contrairement aux tampons, elle ne nécessite pas l’utilisation de chlore pour blanchir la matière première ou de substances chimiques. enfin, leur cycle de vie est extrêmement intéressant que celui d’une serviette jetable ou d’un tampon qui continue à se dégrader dans les milieux terrestres et marins.
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